RB Mémoire de Dieu
L´histoire du Messager
La mission d´RB sur Fomalhaut
L´histoire de la Terre
La deuxième moitié du cycle
Le passé de Fo
Le présent des hommes
Le Dieu Fo prisonnier
Le devenir du Cycle
La parole de Fo
L´ère du Verseau est là, le Temps choisi du retour à
l´Un, et quatre milliards d´humains peuplent la planète.....
Pourtant à chaque ère, le Messager était revenu, à chaque
ère le berger avait rappelé son troupeau. Mais c´était sans
compter sur l´orgueil des êtres qui, livrés à eux-mêmes
pensent être dépositaires du Savoir et font la guerre à leur
propre Dieu, cellules faisant la guerre au corps tout entier, ceci sans réaliser
qu´ainsi ils courent inévitablement à leur propre perte.
Aux premiers temps de l´ère du Lion, les événements se
déroulèrent comme prévu : un cataclysme stabilisa toute la
démographie, ce fut l´époque de Noé ou plutôt de
NOA, c´est-à-dire l´être premier NOUM,
N entre Omega et Alpha.
Temps très bref, mais temps de
réaction tellurique violente où seuls les hommes-dieux survécurent
au cataclysme.
Les hominiens qui s´étaient rassemblés dans
les parties du globe les plus favorables climatiquement périrent presque tous
submergés par les eaux, alors que les hommes-dieux, symbolisés par le
Noé de la Bible, furent préservés grâce à
l´Arche.
Le cataclysme étant très localisé, les autres formes de vie,
ne furent pas détruites à l´extinction.
L´axe de la Terre
ayant basculé sa durée de rotation autour du Soleil fut alors de
365,25 jours par an.
Tous ces évènements étaient dans l´ordre des choses.
Tout allait normalement.
L´ère du Cancer fut le prélude au non respect de la Loi.
Le Messager fit son apparition, parla mais ne fut pas respecté. Au contraire
on essaya même de détruire son corps physique.
Le résultat
fut qu´il n´y eut pas de représentant de la Loi.
Pourquoi ?
Sans doute l´énervement dû aux cataclysmes et à l´influence
des lunaisons nouvelles.
A l´ère des Gémeaux, le Messager fit sa réapparition.
Deux clans étaient alors en opposition.
Bien que physiquement indentiques, les
membres des deux groupes étaient profondément différents.
Une sélection s´était faite :
- une moitié pensait à son Dieu NOUM
- mais l´autre moitié ne pensait plus qu´à sa propre
jouissance.
Le Messager ne fut que partiellement écouté par les premiers. Une guerre
fut déclarée entre les hommes.
Première guerre, première tuerie...
Puis ce fut l´aube de l´ère du Taureau.
Qui
dit Taureau dit fécondation, ce fut l´ère de la multiplication
irréfléchie, de la fécondation au service des forces
guerrières, de la compétition entre les hommes, et l´on fit des
enfants à outrance.
- Ce fut une ère maudite s´il en fut.
Obéissant à la loi divine de la sélection naturelle, des
épidémies, similaires à la peste noire apparaissent et disparaissent
d´elles-mêmes une fois qu´elle ont fait leur office.
Malgré
cette régulation, sauvegarde de l´équilibre, les hommes depuis
cet age ont proliféré à l´infini, ne respectant aucune loi,
détruisant tout pour rester les maîtres, jusqu´à
l´absurde. Cette multiplicité est à l´image de microbes pathogènes,
ils amènent la mort de l´individu auquel ils s´attaquent mais aussi
d´eux-mêmes en finalité.
Ainsi, de celui qu´ils ont
attaqué, ils deviennent la victime.
Les hommes, habitent sur un organisme, leur Terre Mère, elle a sa vie propre,
sa respiration, son rythme, ils doivent la respecter car d´elle émane
leur nourriture. En la détruisant, ils se tuent.
Et pourtant, c´est ce que les hommes ont fait à partir de cette époque !
L´ère du Taureau annonça le commencement du désordre, de
l´abandon de Dieu, amenant haine, souffrance, cruauté, tueries, supplices...
Le Messager parla.
On ne retint qu´une faible partie de ses paroles.
Seuls les hommes opprimés
l´écoutèrent mais la haine était la plus forte.
L´homme-dieu repartit.
Les hommes, eux, retournaient sensiblement vers la bête. Ils s´inventaient des dieux
à leur image, reflet d´eux-mêmes, ce fut le dieu-taureau : Apis,
puis Bacchus, dieu au corps de bête.
L´homme s´y reconnaissait.
A l´ère du Bélier, le Messager parla.
Mais la domination de quelques-un suffit pour qu´ils puissent imposer leur idôle,
symbole de leurs passions.
Les paroles glissèrent comme l´eau sur
la pierre.
Rien ne resta qu´excès et haine, caricatures du divin, si ce
n´est le vague reflet d´une parole perdue.
Ce fut le dieu Pan, le dieu cornu aux pieds de chèvre et l´on inventa des
idôles de pierre...
A l´ère du Poisson, quand l´étoile brilla,
le Messager sut qu´il devait parler. Seule une partie des opprimés
l´écouta. Il annonça la venue du Messie et par la chaîne des
douze, la transmutation divine se fit avec le graal et la table.
Le Christ
était né : il avait vingt-huit ans.
Le Messie parla, on l´écouta et on le tua aussi vite que l´on put.
Son règne fut éphémère, ses paroles déformées,
inversées, censurées.
Les Evangiles répendirent des
enseignements contradictoires aux paroles données.
Parmi les trahisons les
plus graves, alors que l´on devait retourner à l´Un, on lui fit dire :
- " Croissez et multipliez " !
Pourtant, à Salomé qui demandait :
- " Ai-je donc bien fait Maître, de ne point enfanter? "
Jésus répond :
- " Mange de tous les fruits, mais de celui d´amertume ( la maternité )
ne mange point ".
Enfin sonne la treizième heure, vient l´ère première et
l´ère dernière, le cycle est complet.
Saturne, aquanus,
urnifère verse l´eau.
L´ère du Verseau
s´approchait, c´était la Fin du Grand Cycle de vingt-six mille ans
et il semblait que rien n´incitat les hommes à prendre conscience.
Ceux qui pensaient encore à Dieu en faisaient un épicier, ils lui
demandaient tout : succès, guérisons, pain quotidien et même
de réaliser des méfaits.
Partout les hommes se dressaient contre les hommes.
Quelque chose empêchait
l´évolution normale de s´accomplir.
Or, la Loi Divine doit
être.
Quelle influence les hommes recevaient-ils pour être aussi
éloignés de la Vérité ?
Pour le savoir, il fallait
subir le mal venant d´on ne sait où et en avertir mentalement ceux qui
sont les frères des hommes, ceux qui sont arrivés au stade final, celui
de l´attente.
Le Messager, depuis le début de l´ère du Poisson, vécut
alors dans les corps de différents hommes choisis pour leur disponibilité.
Il ne fallait pas que le receptacle soit une gêne, les êtres élus
devaient être libres de tout conditionnement. Libres en pensée, ils
devaient avoir échappé à tous les carcans intellectuels dont les
privilégiés de la culture emprisonnent leur âme.
Vivant au milieu des hommes éduqués, ils étaient victimes de leurs
doctrines et leur semblant de savoir, la liberté était parfois difficile à assumer pour ces êtres
qui se sentaient étrangers, étrangement disponibles, mais ne savaient
pas encore pour qui ni pour quoi.
On les aura rarement trouvé parmi les grands de ce monde.
Ni
rois, ni marchands, ni savants, ils vivaient plus souvent parmi les humbles : bergers, artisans,
conteurs, ils travaillaient souvent de leurs mains à l´abri de
l´instinct de domination et de l´appétit de l´or.
Ces hommes devaient être assagis, ils devaient avoir expérimenté
le plus grand champ possible de l´expérience humaine.
Ils étaient
protégés depuis leur naissance et choisis en nombre suffisant pour que
le Messager puisse s´installer dans le corps de celui qu´il
préférait. Aussi ceux-ci étaient naturellement disponibles dans
chaque endroit où il pouvait aller, marqués de son signe, la
flèche, le javelot, le runa.
Ainsi, présent continuellement de corps en corps, le Messager observa
longuement pour la première fois tous les êtres humains.
Il essaya
d´intervenir par le biais de la Connaissance Vivante.
Il enseigna aux hommes que la Connaissance est un travail permanent qui permet à
celui qui travaille de poser les questions primordiales à celui qui donne.
Ainsi,
la Connaissance grandit suivant l´intérêt de celui qui est en
recherche.
Tel est l´enseignement de la fable du laboureur qui dit à ses enfants :
" un trésor est caché dans le champ ".
Ses fils retournent
alors la terre, point d´or, mais une vraie richesse : celle du travail.
Tout se mérite.
Il ne s´agit pas d´empiler des connaissances extérieures à
soi, des catalogues de dogmes poussiéreux, mais de faire vivre en soi, de
rendre miel, par la réflexion, cette connaissance qui unit le Savoir et
l´Amour.
- Prie dans la croix, prie dans le travail, telle était la devise du Christ.
- Prie, sois disponible à l´Amour et travaille sur la Connaissance, tel
était l´enseignement du Messager.
- Aies la foi et connais la Loi. Le royaume des cieux te sera ouvert.
ORA : prie, mot sacré.
Alexandre le Grand n´a tenté la conquête du monde que pour aller
détruire aux confins du Tibet la ville d´ORA, symbole de la force
créatrice dont il voulait être le maître.
La ville d´URI répond au même symbolisme ainsi que celle de SILO.
SIL signifie : la terre rouge dont est fait Adaham, c´est
l´âme d´Adaham.
C´est le son SIL qui lui
a donné l´Esprit.
Quand les hommes ont cessé d´être nomades, ils se sont
arrêtés, ils ont mis une enceinte autour de SIL qui est
devenu SILO.
On a ainsi enfermé le sacré et l´on a
fait disparaître son symbole, l´Arche d´Alliance.
Où selon la bible, l´Arche d´Alliance a t-elle été
enterrée ?... à SILO....
Ces trois mots : ORA, SIL et URI, tu les retrouves dans le
carré magique :
R | O | S |
U | R | I |
S | A | L |
Lu horizontalement, il signifie :
" La rosée brûle le Sel "
Il donne la clé de la préparation du sel alchimique philosophique.
Que de connaissances dans un simple carré..
Mais je ne t´ai pas révélé les ultimes secrets...